Vivre en Argentine en 2025 : l’avis de Thomas et Clovis

Comment est la vie en Argentine ? Si vous préparez votre premier voyage en Argentine, quelle que soit la raison (tourisme, études, PVT, etc.), vous vous posez certainement beaucoup de questions. Argent, communication, logement, transports : les articles thématiques proposés sur ce site vous apporteront certainement de nombreuses réponses.

Cependant, en raison de ma longue expérience en Argentine, il m’est parfois difficile de me mettre dans la peau de quelqu’un qui découvre ce pays avec un regard neuf. En complément, j’ai donc recueilli les témoignages de Thomas, mon neveu, et de son pote Clovis.

Tous 2 y ont vécu 3 mois, de septembre à décembre 2024. Ils séjournaient pour la première fois en Argentine. Désireux de sortir des circuits touristiques traditionnels et de découvrir la manière de vivre, au quotidien, en Argentine, ils ont passé l’intégralité de leur temps à Buenos Aires et Córdoba, les 2 plus grandes villes du pays. Leur retour d’expérience sur la vie en Argentine est donc riche d’enseignements.

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⏳ Temps de lecture 23 minutes

Pas le temps de tout lire ? Voici les infos à retenir :

  • Sympathiques, patients, avenants, gentils, curieux, souriants, conviviaux, expressifs, chambreurs, accueillants : tels sont quelques-uns des mots employés par Thomas et Clovis lorsqu’ils parlent des Argentins. Leur passion pour le football les a également marqués.
  • Selon Thomas et Clovis, l’Argentine est un pays sûr. Certes, des précautions doivent être prises (notamment, la nuit) et des sollicitations peuvent être déroutantes.
  • Il est aisé de gérer son budget en changeant des euros en pesos argentins ou en s’envoyant de l’argent à soi-même via Western Union.
  • Sans surprise, ne pas parler espagnol est un frein, même si, une fois sur place, on apprend vite. En attendant, communiquer en anglais est possible, notamment avec les jeunes.
  • À leurs yeux, le fait de vivre tard, la grande importance accordée aux interactions sociales, le goût pour la fête ou l’habitude de passer le dimanche en famille sont quelques traits culturels marquants.

Besoin d’explications complémentaires ? Voici ce que propose cette interview :

Thomas et Clovis : un voyage en Argentine entre amis

Thomas (deuxième en partant de la gauche) et Clovis (au centre) se sont fait faire un tatouage lors de leur premier voyage en Argentine
Thomas (2e en partant de la gauche) et Clovis (au centre) sont repartis d’Argentine avec un tatouage

Thomas : Je m’appelle Thomas. J’ai 24 ans. J’habite en France à Devèze, un village des Hautes-Pyrénées. J’ai un BTS Management commercial opérationnel (MCO) et actuellement je suis en reconversion en tant que téléconseiller en immobilier. Dans la vie, mes passions sont le sport (foot, cyclisme, basket, tennis…). J’aime également les jeux vidéo.

Ce qui m’a motivé à partir en Argentine est principalement la découverte d’un pays loin de la France, pour la première fois hors de l’Europe. J’avais déjà voyagé, mais uniquement en Europe. Je voulais aussi découvrir la culture sud-américaine.

Clovis : Je m’appelle Clovis. J’ai 23 ans. Je vis dans un petit village de la campagne en Haute-Garonne à 45 min de Toulouse. Je travaille dans le secteur de la comptabilité. J’aime la campagne, la nature, les animaux en général, aller boire des coups dans des bars avec mes amis, les jeux vidéo et la pop culture japonaise.

Thomas m’a proposé ce voyage lors d’une période pendant laquelle je n’avais rien à faire. Comme j’avais prévu de voyager hors de France, j’ai saisi cette occasion. Je dis rarement non à une proposition qui change ma routine tant qu’elle est un minimum planifiée.

J’avais déjà voyagé hors de l’Europe plusieurs fois au Canada et une fois à Miami, mais jamais en Amérique latine.

Clovis : Pas spécialement, à part en matière de nourriture. En effet, j’ai beau aimer beaucoup de choses, en général, j’attends d’un voyage qu’il me fasse regretter de rentrer chez moi à cause de la nourriture locale. Sinon je n’avais pas spécialement d’attente.

Thomas : Avant de partir en voyage, je n’avais aucune attente particulière. Je voulais juste partir à la découverte et me laisser guider au jour le jour.

Premières impressions de l’Argentine

Thomas : Quand je suis arrivé en Argentine, j’ai été surpris, car j’avais l’impression d’être dans un pays d’Europe. En effet, les paysages, les personnes me faisaient penser à l’Europe.

Clovis : Moi aussi, j’ai été étonné par l’influence européenne en général du pays. Pas forcément les gens, mais plus une ambiance dans les villes qui me faisait ressentir cela.

Clovis : J’ai trouvé l’accueil très sympathique. Surtout, j’ai trouvé que les Argentins étaient patients avec moi. Personnellement, je ne parle pas espagnol. Et ils avaient la patience de me comprendre.

Thomas : Lors de ce voyage, tu nous as accompagné Jérôme. De ce fait, tu nous as présentés à plusieurs de tes amis argentins lors d’une sortie dans un bar [NDLR : à Mundo Lingo, le lendemain de leur arrivée en Argentine]. Ce sont les premières personnes vivant là-bas que j’ai rencontrées durant ce voyage. J’ai été agréablement surpris, car ils ont été très avenants et très gentils avec nous. De plus, lors de cette sortie, dans ce bar, nous avons pu parler avec d’autres Argentins en dehors de ton cercle d’amis. Ils ont été intrigués, car nous étions Français et nous avons beaucoup parlé avec eux. C’était très intéressant.

Découverte de Buenos Aires

Thomas : Mon lieu préféré de Buenos Aires, en tant que fan de foot, a été la visite de la maison de Diego Maradona et également d’un petit musée avec des informations autour de celui-ci. C’était vraiment ma visite préférée. J’ai pu aussi comprendre pourquoi les Argentins le voient comme un dieu.

Clovis : Pour Buenos Aires, je dirais simplement qu’on y sent l’histoire argentine à travers les monuments, le nom des parcs et des places de la ville.

Thomas : Cette ville m’a beaucoup fait penser à Paris. C’est une ville immense avec une forte population. Les habitants sont souriants.

Mais, je pense que la nuit, Buenos Aires est assez dangereux. Bien sûr, tout dépend de là où l’on se trouve. Une fois, je marchais avec Clovis vers 20 h 30/21 h et plus le temps passait plus nous nous baladions et plus l’ambiance devenait lourde et glauque.

Thomas (à gauche) et Clovis (à droite) assis sur un banc dans le Rosedal de Palermo à Buenos Aires lors de leur premier voyage en Argentine
Thomas et Clovis, assis sur un banc du Rosedal de Palermo à Buenos Aires

Découverte de Córdoba

Thomas : Ce qui m’a le plus marqué, un peu comme à Buenos Aires, est que cette ville m’a fait penser à une ville d’Europe. De plus, c’est une ville étudiante. Il y a beaucoup de jeunes.

Thomas : Si vous voyagez à Córdoba, je vous conseille d’aller à la Torre Capitalinas, c’est le plus haut bâtiment de la ville. Au dernier étage, où il est possible de consommer, on a une vue exceptionnelle sur la ville et les montagnes environnantes.

Vue de Córdoba et des montagnes environnantes depuis le dernier étage de la Torre Capitalinas
Coucher de soleil sur les Sierras de Córdoba depuis le dernier étage de la Torre Capitalinas

Je conseille également d’aller à Río Ceballos [NDLR : une ville à une trentaine de km de Córdoba]. On peut y faire une randonnée qui conduit à une cascade où il est possible de se baigner. C’est un peu physique, mais ça en vaut la peine. Le paysage est sublime.

Clovis goûtant pour la première fois du maté lors de son premier voyage en Argentine
Clovis découvre le maté lors d’une randonnée à Río Ceballos

Clovis : Pour ma part, je conseille de sortir dans des bars, notamment à l’occasion de matchs de foot locaux ou de l’équipe nationale, puis de finir tard dans la nuit.

Thomas : J’ajoute que lorsqu’on va voir des matchs de la sélection argentine dans des bars, l’ambiance est folle. On peut clairement voir que l’Argentine est un pays de foot où chaque match est vécu avec une énorme passion. Puisque nous parlons de sorties nocturnes, je recommande d’aller à Mundo Lingo. Cet événement se déroule dans des bars. Lorsqu’on arrive, on colle sur notre t-shirt un drapeau qui correspond à la langue qu’on parle ; il est possible d’en mettre plusieurs évidemment. Cela facilite l’échange avec les autres. En général, lors des sorties dans les bars, les ambiances sont conviviales.

Thomas (premier debout en partant de la gauche) et Clovis (premier accroupi en partant de la gauche) lors de leur première soirée Mundo Lingo à l'occasion de leur premier voyage en Argentine
Mundo Lingo : moment festif et échange culturel

Thomas : Personnellement, j’ai préféré l’ambiance de Córdoba à celle de Buenos Aires. C’est une ville avec moins de gens et aussi les rues sont beaucoup plus petites. Pour moi, c’était plus agréable de se balader dans Córdoba qu’à Buenos Aires où les pâtés de maisons sont immenses.

Clovis : Mon ressenti est assez similaire. La capitale a un grand centre-ville, étendu et très actif, alors que Córdoba a un plus petit centre-ville. Quand on va vers l’extérieur, on voit que la ville a des moments de repos. Je dirais que les Cordobeses sont assez lents, mais pas dans un sens péjoratif. Dans le sens où ils prennent le temps de discuter avant de passer à l’action.

Vie quotidienne et logistique (argent, sécurité, logement, transport)

Clovis : Pour le coût de la vie quotidienne, j’ai ressenti une différence assez forte au début. La nourriture était plus abordable, même sans trop faire attention au prix.

Thomas : Personnellement, je n’ai pas été surpris par le coût de la vie. J’en avais discuté avec toi et je savais déjà à quoi m’attendre.

Thomas : Si vous avez des euros, ce n’est pas un souci de les échanger contre des pesos argentins. Il y a beaucoup de possibilités. Nous avons utilisé 2 techniques. Au début, comme nous avions des euros en liquide, nous les échangions contre des pesos au taux blue. Quand nous n’en avons plus eu, nous avons utilisé l’application Western Union : on peut s’envoyer de l’argent à soi-même depuis notre compte en banque français et on le récupère sur place en pesos argentins. Il y a beaucoup d’agences Western Union dans les grandes villes. À Córdoba, je recommande celle du Patio Olmos qui est ouverte même le samedi.

Clovis : Nous n’avons eu aucun problème pour récupérer des pesos argentins à un bon taux de change avec Western Union. Nous pouvions le faire par nous-mêmes facilement. La seule difficulté c’était que le type de billet donné par Western Union pouvait être un peu plus contraignant : au moment de récupérer les pesos argentins, on avait parfois les poches pleines de billets le temps de revenir à l’appartement.

Thomas : Si je peux donner un conseil aux futurs voyageurs, c’est le suivant : sortez toujours avec une bonne somme d’argent en poche, car même si vous avez l’impression que vous avez beaucoup de billets en poche, ils partent vite ! Au début, il nous arrivait souvent d’être à court d’argent, car nous n’en avions pas pris assez. N’hésitez pas à en prendre beaucoup, quitte à en ramener.

Thomas en train de gonfler un ballon pour l'anniversaire de son oncle (Jérôme Dufaur) lors de son premier voyage en Argentine

Thomas : Personnellement, je me suis senti en sécurité en Argentine. Il y a eu juste 2 cas ou j’ai été exposé à des dangers, mais c’était très minime. La première fois, je portais un maillot de foot de l’Argentine et une personne m’a interpellé et m’a dit : « Enlève ça et mets le maillot de la Bolivie ! » Je n’ai pas trop compris vu que j’étais en Argentine. Mais je n’ai rien dit et j’ai passé mon chemin, car il insistait. La deuxième fois, nous étions assis sur un banc avec Clovis et 2 petits Argentins sont venus nous accoster et nous ont demandé de l’argent. Nous avons dit non et ils ont beaucoup insisté. Ils nous ont fait croire qu’ils avaient un pistolet dans la poche. Comme ils avaient 10 ans environ, je n’avais pas forcément peur, donc j’étais plutôt serein. Ensuite, ils sont partis, car ils ont compris qu’ils n’allaient pas avoir d’argent.

Une dernière chose : les voitures ! En France, les piétons sont beaucoup plus respectés.

Thomas : Utiliser les transports en Argentine est facile. Il y a beaucoup de bus, énormément de taxis toujours prêts pour vous. Dans chaque ville, il y a des gares routières d’où l’on peut prendre un bus pour des voyages plus longs, par exemple pour relier Buenos Aires et Córdoba.

Thomas : Durant notre voyage, nous avons loué un appartement meublé. Faites attention, car au début nous avions un appartement soi-disant « bien situé ». Or, une fois sur place, il était situé au-dessus d’une boîte de nuit et, du coup, il était bruyant toute la nuit, 5 jours sur 7. Nous avons donc changé et pris un autre appartement. Une fois là-bas, tout était bien, un calme parfait et un super emplacement.

Différences culturelles et apprentissages

Thomas : Une des différences marquantes en tant que Français c’est la bise. Pour se dire bonjour en Argentine, c’est une seule, à gauche. Au début, c’est assez perturbant.

De plus, en Argentine, les commerces sont ouverts très tard. C’est un pays où l’on vit beaucoup plus tard la nuit. Par exemple, des coiffeurs et des boulangeries sont ouverts à 22 h. Les Argentins dînent beaucoup beaucoup plus tard qu’en France.

Une autre différence majeure entre l’Argentine et la France c’est le dimanche. Ce jour-là, en Argentine, nous avions l’impression que la ville était « morte ». Il n’y a personne dans les rues, car le dimanche est un jour que les Argentins, pour la plupart d’entre eux, passent en famille. En France, c’est également le cas, mais beaucoup moins.

Par ailleurs, pour moi, en Argentine, les personnes sont beaucoup plus expressives qu’en France.

Enfin, je ne sais pas si c’est dans la culture argentine, mais les Argentins sont presque tous en retard.

Clovis : Bien que je ne parle pas espagnol, j’ai pu discuter avec des locaux. Le plus que j’ai pu parler c’est avec des étudiants. Nous avons pu échanger en anglais. Je dirais que les étudiants sont plutôt curieux et parlent beaucoup de politique par rapport à la situation de leur pays.

Thomas : Durant les différentes sorties le soir, nous avons pu parler avec de nombreux locaux. Personnellement, mon principal sujet de discussion avec eux était le foot. Je voulais vraiment savoir comment les Argentins percevaient Messi, car, pour moi, c’est le meilleur joueur de tous les temps. Et j’ai été surpris, car, pour beaucoup d’entre eux, Maradona reste indétrônable. J’ai également été soumis à quelques chambrages vu que je suis français. Les Argentins, avec humour, me rappelaient que la France avait perdu la finale de la coupe du monde de foot en 2022. Des fois, sans même avoir parlé de foot, juste en disant que je suis français, leur premier réflexe était de me dire ça. Je me suis rendu compte que le foot était vraiment comme une religion pour eux.

Thomas : Personnellement, ce voyage m’a énormément fait mûrir et grandir, je devais me débrouiller par moi-même. Heureusement, si j’avais un problème, tu étais là pour nous aider. Mais j’ai beaucoup appris à me débrouiller, lors des sorties, avec une langue que je ne maîtrise pas trop. J’ai su m’en sortir. Plus le temps passait plus je me débrouillais et plus je devenais à l’aise. Et j’ai également appris que c’était ce genre de pays qu’il me fallait pour être plus heureux.

Thomas : Ce voyage a changé mon point de vue sur l’Argentine. Tout d’abord, en France, beaucoup de personnes pensent que les Argentins sont racistes, via les chants envers les Français ou autres, mais ce n’est pas du tout le cas. De plus, avant de partir j’avais le préjugé « pays d’Amérique du Sud = pays très dangereux ». Or, ce n’est pas du tout le cas. C’est un pays très accueillant avec des personnes très souriantes.

Défis, surprises et moments mémorables

Clovis, français ayant voyagé pour la première fois en Argentine de septembre à décembre 2024

Clovis : La langue a été le plus gros défi pour moi, comme dit précédemment. Je ne parle pas espagnol. La prochaine fois, j’irai en ayant appris un minimum pour pouvoir discuter dans la langue locale. Google traduction m’a bien aidé en général.

Thomas : Pour moi aussi, la seule difficulté rencontrée dans ce voyage était la barrière de la langue. Mais, avec le temps, nous apprenions de plus en plus de mots et c’était plus facile. Sinon nous n’avons pas eu beaucoup de difficulté.

Thomas : Lors de ce voyage, chaque fois que nous le pouvions, nous faisions la fête. D’un coup, nous avons découvert un bar très proche de notre appartement. Ce fut une réelle découverte, car, après, nous y allions très souvent avec une super ambiance et des serveurs très gentils. Les personnes dans le bar également étaient très avenantes.

Thomas : Personnellement, j’ai fait une rencontre très inattendue. J’étais dans un bar avec mes amis et une personne m’a accosté. Nous avons parlé durant tout ce moment où j’étais au bar. J’en ai presque oublié mes amis sur le moment. Puis, nous avons gardé contact tout le séjour. C’était vraiment une rencontre inattendue, car je venais juste m’amuser avec mes amis.

Thomas : Un moment mémorable de notre voyage est, je pense, notre première sortie dans un bar. Avec mes amis, nous avions beaucoup fait la fête. Nous étions tellement lancés que nous avons mis de la musique française dans un bar bondé. Tout le monde nous regardait sans comprendre ce qu’il se passait !

Conseils aux futurs voyageurs

Clovis : Je dirais qu’il faut y aller avec un minimum de connaissance de la langue, surtout pour ne pas se perdre. Je trouve que le reste se fait assez facilement.

Thomas : Un conseil que je peux donner est d’y aller sans a priori et sans stress. C’est un pays très accueillant. Bien sûr, il faut faire tout de même attention à ses affaires. Faire attention, par exemple, au vol de téléphone dans les rues. Un autre conseil, c’est d’aller dans des bars ou dans des endroits propices aux rencontres : les Argentins n’ont pas peur de venir vous accoster, comme nous l’avons nous Français !

En conclusion : résumé de l’expérience et projets de voyage

Thomas : Pour moi, les 3 mots positifs sont :

  • Rencontre, car j’ai rencontré une personne incroyable.
  • Soleil, car l’été arrivait là-bas et j’adore le soleil et la chaleur.
  • Amis, car j’ai passé 3 mois à vivre avec mes amis et ça nous a rapprochés.

Et je retiens 2 mots négatifs qui sont :

  • Pauvreté, car c’est un pays très pauvre avec un salaire moyen très faible.
  • Court, car c’est passé trop vite.

Clovis : Mes 3 mots positifs sont :

  • Nourriture : simple mais délicieuse.
  • Climat : chaud et ensoleillé, sympa pour sortir bronzer au parc en hiver.
  • Accueil : les habitants sont ouverts et chaleureux dans les échanges.

Et mes 3 mots négatifs :

  • Chaleur : il fait parfois trop chaud pour moi.
  • Trajets : les distances peuvent être très longues et fatigantes.
  • Imprévisibilité : certains jours, les villes sont animées tandis que d’autres, les rues sont désertes et les commerces fermés.

Clovis : Je prévois de retourner en Argentine pour découvrir davantage le pays et de visiter d’autres pays d’Amérique du Sud.

Thomas : Personnellement, j’ai pour projet de retourner en Argentine et de visiter toute l’Amérique du Sud.

Merci encore à tous les 2. Ravi de savoir que cette expérience vous a plu et que vous envisagez d’y donner une suite. J’espère que ces projets se concrétiseront rapidement.

Un mot sur l’auteur

Présentation de Jérôme Dufaur, créateur de argentinamo.com et auteur des articles: "Tombé amoureux de l’Argentine lors d’un semestre d’études en 2001, Jérôme Dufaur y passe entre 3 et 6 mois par an. Conscient du besoin de disposer d’informations de qualité sur ce magnifique pays, il a créé ArgentinAmo pour partager des conseils de voyage et transmettre sa passion."

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