Blaise Pascal nous a mis en garde : « Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre » (Pensées, édition Léon Brunschvicg, n°139).
Donc, une fois à Buenos Aires, restez bien tranquille dans votre chambre et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes (sauf si le ciel – pardon, le plafond – vous tombe sur la tête).
Voilà, c’était mon conseil. Fin de l’article. À bientôt et bon séjour !
Bon, je suppose que vous n’avez pas fait un si long voyage pour rester enfermé entre 4 murs et que vous ne vous contenterez pas d’un article de 5 lignes.
Buenos Aires vous appelle pendant quelques jours. Alors, je vous propose d’examiner la question sérieusement.
Buenos Aires est une grande ville. Une très grande ville. Avec ses 200 km², CABA est 2 fois plus grande que Paris intra-muros. Elle compte 1 million d’habitants de plus que la capitale française. Alors, oui, vous avez plus de chances d’être confronté à des dangers à Buenos Aires que si vous traversez la commune de Recurt (200 habitants) dans les Hautes-Pyrénées.
La capitale argentine n’a rien d’un coupe-gorge (contrairement à ce que vous lirez peut-être si vous avez envie de vous faire peur en consultant certains forums). Cependant, il importe de prendre quelques précautions, sachant que les dangers les plus importants ne sont pas forcément ceux que l’on croit.
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Pas le temps de tout lire ? Voici l’info à retenir :
- Pas de psychose ! Buenos Aires est une grande ville qui n’est pas spécialement dangereuse, à condition d’être attentif et de prendre quelques précautions.
- La circulation routière et la dengue appellent une vigilance particulière.
- Sur place, le Consulat de France et la Police touristique sont vos interlocuteurs de référence.
Besoins d’explications complémentaires ? Voici ce que propose cet article :
Mon expérience personnelle : pourquoi je suis légitime sur ce sujet
Après 4 ans en Amérique du Sud, dont 3 ans en Argentine, je tiens à vous rassurer.
J’ai parcouru des dizaines de kilomètres à pied, en transport en commun ou en taxi, de jour et de nuit, la plupart du temps seul, à Buenos Aires, à Lima, à La Paz, à Santiago du Chili, à Montevideo, à Sao Paulo, etc. et je ne me suis jamais réellement senti en insécurité.
Surtout, je n’ai jamais été agressé.
Jusqu’à présent, la seule agression dont j’ai été victime dans ma vie a eu lieu dans une rame du RER B entre Saint-Denis et Aulnay-sous-Bois. Pas à proximité immédiate du Río de La Plata.
La seule fois où un objet m’a été dérobé en Amérique du Sud, c’était à la frontière entre la Bolivie et l’Argentine. Je voyageais depuis 2 mois et demi sans avoir rencontré le moindre souci. Mon attention commençait à se relâcher. Dans un bureau de change, j’ai posé un sac à dos à mes pieds. Il a suffi de quelques instants pour qu’un voleur s’en empare (sans que je m’en rende compte) et disparaisse.
Au-delà de cette mésaventure devenue une anecdote, comme tout le monde, j’ai lu et entendu en Argentine des témoignages de touristes ou de locaux qui font froid dans le dos.
Lors de mon premier voyage en 2001, à Córdoba, une étudiante allemande a été victime d’un vol à main armée alors qu’elle se trouvait dans une laverie. En 2024, sur un forum Facebook, une Française a déclaré avoir été dépouillée, par un homme armé d’un pistolet, à la sortie d’un restaurant d’une rue un peu excentrée dans le quartier de La Boca. Je n’oublie pas non plus les assassinats de Cassandre Bouvier et Houria Moumni (en 2011 dans la région de Salta) et de Laurent Schwebel (en 2012 à Buenos Aires), qui ont légitimement eu un grand écho, en France comme en Argentine.
Ces réalités sont incontestables.
Cependant, les attaques à main armée et assassinats sont très rares à Buenos Aires.
Ces réalités sont tout aussi incontestables.
Sans prendre mon cas pour une généralité, je peux affirmer que Buenos Aires et les villes sud‑américaines que j’ai visitées ne sont pas plus dangereuses que ne l’est Paris, par exemple.
En tâchant d’être objectif, je listerai les principaux dangers dont j’ai été (directement ou indirectement) témoin (y compris ceux que vous n’aurez peut-être pas immédiatement en tête) et je mentionnerai les précautions à prendre pour les éviter ou les limiter.
Le vol : principal danger à Buenos Aires
Le vol est le type de délinquance auquel vous risquez le plus d’être confronté.
Les statistiques officielles de la criminalité en Argentine en 2022 (rubrique « otros delitos » + « Ciudad Autónoma de Buenos Aires » montrent bien que les robos (vols avec violence) et hurtos (vols sans violence) sont les infractions les plus fréquentes à Buenos Aires. De très loin.
Quels sont les quartiers dangereux de Buenos Aires ?
Certaines zones (à proximité des gares de Retiro, de Constitución ou de Once) ou certains quartiers touristiques (La Boca, notamment) appellent une vigilance particulière, de jour et, surtout, de nuit.
Par exemple, tous mes amis argentins, qui sont nés et qui vivent à Buenos Aires, savent que La Boca est à éviter après la tombée de la nuit. Le Caminito et ses maisons colorées étant l’un des principaux sites touristiques de la ville, les voleurs de téléphone portable sévissent dans le quartier.
Parfois, il suffit de s’éloigner de la zone la plus fréquentée pour être victime d’un vol, à 2 ou 3 rues du Caminito, même en plein jour. Des agressions à main armée ont même été rapportées ces derniers mois. Dans un tel cas, la seule consigne à retenir est la suivante : ne résistez-pas ! La valeur d’un smartphone ne vaudra jamais celle d’une vie.
Mais, de fait, les voleurs peuvent sévir dans la plupart des quartiers résidentiels de la ville.
Celui qui affirme que certaines zones de Buenos Aires sont épargnées par les vols est un menteur, car les motochorros (dont il sera question juste après), très mobiles, peuvent sévir partout. Y compris à Recoleta et Palermo.
Un maitre-mot (en forme de slogan) : ne cédez pas à la psychose, mais restez sur vos gardes.
Les motochorros
Au gré de mes voyages et des amitiés que j’ai pu nouer, j’ai constaté que plusieurs proches ont été victimes d’un vol à l’arraché de leur téléphone portable.
Certains délinquants se sont spécialisés dans ce type de méfait très lucratif.
Les plus connus d’entre eux sont les motochorros : vous l’avez deviné, ils circulent à moto (ou mobylette) et ils chourent.
Ce type de délinquant est à l’affut de proies en train de se servir de leur smartphone de manière distraite.
Motochorros | Vous limiterez grandement les risques et désagréments si vous :
- Sortez votre smartphone uniquement quand vous en avez besoin. Par exemple, ne le laissez jamais trainer sur une table dans un restaurant ou un bar.
- Évitez de manipuler longuement votre smartphone ou de passer un appel dans des zones dégagées à proximité des intersections, par exemple lorsque vous attendez pour traverser à un feu rouge.
Les pickpockets et voleurs à la tire
Les témoignages que j’ai pu recueillir mentionnent aussi les agissements de pickpockets.
Des portefeuilles, sacs, etc. peuvent être subtilisés (avec ou sans violence) dans les transports en commun (principalement aux heures de pointe), les bars et les restaurants ou lors de grands mouvements de foule (par exemple, en sortie de lieux festifs à des heures avancées de la nuit dans le quartier de Palermo).
Pickpockets | Vous limiterez grandement les risques et désagréments si vous :
- Ne résistez pas en cas de vol avec violence.
- Privilégiez une pochette plate et discrète à mettre sous vos vêtements pour ranger en sécurité vos papiers et votre argent.
- Évitez les sacs à main ou sacoches en bandoulière.
- Portez votre sac à dos sur le torse, notamment dans les transports en commun.
- Laissez vos biens les plus précieux (passeport, mais aussi carte bancaire, bijoux, etc.) dans un lieu sécurisé de votre logement (bagage protégé par un cadenas, coffre, locker, etc.).
- Circulez avec une copie (papier ou numérique) de votre passeport. Cela n’est pas toujours évident, j’en suis conscient : le passeport est nécessaire pour retirer des espèces dans une agence Western Union, pour souscrire un forfait dans une boutique d’un opérateur téléphonique local, etc. Limitez donc vos déplacements avec votre passeport au strict nécessaire.
- Prenez la précaution de conserver à votre domicile (en France) la photocopie de votre passeport et de le numériser (scanner) puis de vous l’envoyer par e-mail à votre propre adresse électronique. Cela facilitera une demande de renouvellement en cas de perte ou de vol pendant votre voyage.
Les mostaceros
Certains voleurs (agissant en petits groupes) utilisent, depuis longtemps, une technique largement documentée : ils aspergent leur proie d’un liquide qui tâche, puis s’en approchent pour proposer de nettoyer.
Il s’agit d’une manière de distraire l’attention pour s’emparer des effets personnels de la victime.
On les appelle les mostaceros, mot dérivé de mostaza (moutarde, en français).
Cette pratique était déjà évoquée dans le Guide du routard qui m’accompagnait lors de mon premier voyage en Argentine en 2001. Personnellement, je n’y ai jamais été confronté (de près ou de loin), mais elle continue à être évoquée. Elle serait, notamment, utilisée dans le secteur de Retiro, mais la photo suivante (issue d’un enregistrement de vidéosurveillance) montre que ce type de délinquance ne se limite pas à ce secteur.
Mostaceros | Vous limiterez grandement les risques et désagréments si vous :
- Refusez toute proposition d’un inconnu qui prétendrait vouloir vous aider à nettoyer vos vêtements souillés.
- Allez rapidement ailleurs (en vous dirigeant, si possible, vers un bar ou un commerce… la présence de témoins devrait rapidement dissuader vos agresseurs).
Les dangers de la circulation piétonne
Ces risques ne sont pas ceux auxquels on pense en priorité.
Pourtant, marcher à pied dans les rues de Buenos Aires requiert un minimum de vigilance en raison des habitudes de conduite des locaux et du mauvais état de certains trottoirs.
Voitures et bus, rois du bitume
Qui dit grande ville, dit trafic dense. Très dense. Buenos Aires n’échappe pas à la règle.
Cette densité n’est pas un problème en soi. Quiconque a vécu ou séjourné dans une jungle urbaine sait à quoi s’attendre.
Le problème à Buenos Aires (et, plus généralement, en Argentine) tient au fait que de nombreux conducteurs de véhicules se considèrent prioritaires.
Autrement dit, si vous êtes un piéton, que vous vous engagez sur un passage clouté, regardez bien autour de vous : il faut être attentif aux véhicules arrivant depuis les rues perpendiculaires (et ayant donc le feu au vert). Et ne pas être surpris, si certains ne marquent pas d’arrêt et passent devant vous alors que vous n’avez pas fini de traverser le passage pour piéton.
Cela vaut, tout particulièrement, sur les grands axes. J’ai tendance à être toujours très vigilant lorsque je traverse un boulevard ou une avenue. Et je vous invite à en faire de même.
Après plusieurs voyages et une expérience d’une vingtaine d’années en Argentine, j’ai bien compris que les voitures et les bus priment les piétons (en gros et en général). Mais, je ne me suis toujours pas habitué au système de feux tricolores. Par rapport à ce qu’on connait en France, la situation est un peu déroutante. Pour la traversée des piétons, la signalétique est généralement absente dès qu’on s’éloigne des zones les plus centrales. Dès lors, pour savoir si on a encore le temps de traverser, il faut se fier aux feux dédiés aux automobilistes : pas si simple, car ils sont généralement placés en hauteur de l’autre côté de l’intersection. Aurais-je le temps de traverser ou pas ? Si j’ai un doute, il vaut mieux attendre que le feu repasse au vert pour les automobilistes, puis traverser lorsqu’il sera revenu au rouge (autrement dit dès que les véhicules s’arrêteront à nouveau).
Véhicules | Vous limiterez grandement les risques et désagréments si vous :
- Restez calme et attentif lors de la traversée des passages cloutés.
- Marquez un temps d’arrêt avant de continuer à avancer, si vous voyez qu’un véhicule a manifestement l’intention de passer avant que vous ayez fini votre traversée. Laissez-le tracer sa route et ne vous improvisez pas professeur d’éducation civique.
Des trottoirs piégeux
En 2017, non sans un certain sens de l’exagération, un reportage de la Télévision publique argentine annonçait que la moitié des trottoirs de Buenos Aires étaient endommagés. Quoi qu’il en soit, l’état des trottoirs a été jugé suffisamment préoccupant pour que la municipalité lance, l’année suivante, un Plan integral veredas (Plan intégral des trottoirs).
De fait, les nids-de-poule – causés, notamment, par les travaux sur les divers réseaux – sont assez nombreux et méritent de regarder, de temps à autre, où vous mettez les pieds.
De plus, les trottoirs pavés (qui ne conduisent pas à la plage) sont légion et peuvent s’avérer glissants par temps pluvieux.
Trottoirs | Vous limiterez grandement les risques et désagréments si vous :
- Marchez à un rythme normal, sans vous presser.
- Restez attentif aux barrières et panneaux signalant les travaux en cours.
La dengue : principal risque sanitaire
Plus petit qu’un motochorro, qu’une voiture ou qu’un nid-de-poule, le moustique pourrait être la principale cause d’un problème de santé lors d’un séjour à Buenos Aires.
En effet, les piqûres des femelles de l’espèce Aedes aegypti peuvent transmettre diverses maladies dont la dengue.
Ces dernières années, la dengue était déjà endémique dans les provinces du nord de l’Argentine. Bien avant la pandémie de Covid-19, elle faisait l’objet d’une attention médiatique soutenue.
Désormais, elle sévit dans des zones plus méridionales et, notamment, dans la capitale.
Le printemps et l’été sont les saisons les plus à risque, soit d’octobre-novembre à mars-avril puisque nous sommes dans l’hémisphère sud.
La période 2023-2024 a établi de (tristes) records : le 22 avril 2024, plus de 333 000 cas avaient été diagnostiqués dans le pays dont 762 qualifiés de graves (0,2 %), et 238 patients étaient décédés (soit 0,07 % des infectés).
Dans la majorité des cas, la dengue est bénigne et asymptomatique. Les symptômes de base (lorsqu’il y en a) sont comparables à ceux de la grippe.
En revanche, consulter immédiatement un médecin s’impose en présence des symptômes suivants :
- douleur abdominale intense et continue ;
- étourdissements ou évanouissements ;
- vomissements persistants ;
- somnolence, agitation ou irritabilité inhabituelles ;
- saignements des gencives, du nez ou présence de sang dans les urines et les selles.
Bref, prenez la dengue au sérieux et ne vous automédiquez pas.
Plus vite la dengue sera détectée et traitée, moins les cas sévères auront de graves conséquences.
Dengue | Vous limiterez grandement les risques et désagréments si vous suivez les consignes habituellement données en France pour se prémunir des maladies transmises par les moustiques :
- Porter des vêtements couvrants, de couleur claire ;
- Utiliser des produits répulsifs cutanés. Je vous conseille de vous fournir en France, car au plus fort de l’épidémie en 2024 l’Argentine a été confrontée à des ruptures de stock.
- Protéger son logement (diffuseurs électriques et spray, par exemple, etc.) ;
- Supprimer (ou couvrir) les récipients d’eaux stagnantes où les moustiques se reproduisent.
Enfin, tenez-vous informé de l’évolution des épidémies liées aux piqûres de moustique et des traitements préventifs. Par exemple, un vaccin contre la dengue (Qdenga, élaboré par le laboratoire japonais Takeda) a été homologué en Argentine et est en cours d’examen par la Haute-Autorité de Santé française.
J’ai un problème : que faire et qui contacter ?
Vous l’aurez compris, le risque zéro n’existe pas.
Reste donc à savoir ce que je dois faire en cas de problème et à qui m’adresser.
Je vous conseille d’anticiper et d’enregistrer les numéros de ces différentes institutions dans votre smartphone.
Numéros d’urgence
Retenez ces 2 numéros qui sont les plus importants à Buenos Aires :
- 911 : police
- 107 : urgences médicales (SAME, l’équivalent du SAMU en Argentine)
La police et le SAME sont joignables 24h sur 24.
Consulat de France à Buenos Aires
Adresse : 1253 Basavilbaso
E-mail : consulat.buenos-aires-cslt@diplomatie.gouv.fr
Appels et WhatsApp : +54 9 11 4470 3202 (en cas d’urgence grave : accident, disparition, décès, incarcération, agression)
Le Consulat de France à Buenos Aires est au service des ressortissants français vivant ou séjournant dans le pays. En tant que touriste, il pourra, notamment, vous aider dans les situations suivantes :
- Perte ou vol de documents (accorder un laissez-passer pour rentrer en France, délivrer un passeport dans un délai d’environ 3 semaines, etc.).
- Accident ou problème de santé (mettre à disposition une liste de professionnels de santé, contacter vos proches, etc.).
- Arrestation (accorder le bénéfice de la protection consulaire, mettre à disposition une liste d’avocats francophones, etc.).
Police touristique de Buenos Aires
CABA s’est dotée (il y a déjà plusieurs années) d’une police touristique dont la mission est de fournir protection, soutien, information et assistance aux voyageurs.
Ses membres parlent plusieurs langues. Certains maitrisent le français et pourront vous renseigner dans vos démarches (dépôt de plainte, par exemple).
La police touristique se déplace dans des véhicules facilement identifiables et effectue des patrouilles préventives.
Il est possible de consulter le site internet de la police touristique (https://turistas.seguridadciudad.gob.ar/ en scannant le QR code figurant sur la photo suivante.
Mais, en pratique, il me semble bien plus simple :
- de la contacter via WhatsApp : + 54 9 11 5050 9260
- de se rendre dans ses locaux : Avenida Corrientes 436 (entre les métros Florida et Correo Central)
Médecins (liste du Consulat de France)
Le Consulat de France de Buenos Aires a établi une liste de notoriété médicale recensant des professionnels de santé à Buenos Aires (CABA et province), Córdoba, Mendoza et Rosario.
Je me contenterai de reprendre les trois généralistes exerçant dans la capitale.
Vous constaterez que tous 3 proposent de prendre rendez-vous via WhatsApp. Une preuve de plus que WhatsApp est l’outil de communication numéro 1 en Argentine.
- Dr Nicolas Garrigue | Adresse : Coronel Díaz 2251 | WhatsApp : +54 9 11 5043 5533
- Dr Carlos Schwartz | Adresse : Avenida del Libertador 5630 | WhatsApp : +54 911 4470 8243
- Dr Hélène Luzzati | Adresse : Amenábar 2446 | WhatsApp : +5491156900161
Defensoria del pueblo
Adresse : Av. Belgrano 673 CABA
WhatsApp : +54 9 11 7128-8301
Cette institution (similaire au Défenseur des droits en France) sera votre interlocutrice si jamais vous êtes victime d’une entreprise de services touristiques (agence de voyages, compagnie aérienne ou compagnie de bus, établissement hôtelier, loueur de véhicules, etc.).
En la contactant, vous pourrez entamer une procédure pour faire valoir vos droits.
En conclusion
J’espère que les quelques conseils donnés dans cet article vous auront rassuré… même si vous êtes paranoïaque, hypocondriaque ou les deux.
Si les risques et dangers ne sauraient être minimisés, tout porte à croire que votre séjour à Buenos Aires se déroulera dans de très bonnes conditions.
Qui plus est, en cas d’expérience fâcheuse, vous savez désormais à qui vous adresser.
Merci pour vos conseils précieux.Avec une amie nous souhaitons aller en Argentine 3 semaines en novembre 2024. Auriez-vous des contacts à buenos aires susceptibles de nous conseiller. Merci
Philippe le bourbouach
Bonjour Philippe. Merci pour votre message. Très bonne idée, novembre est une période excellente pour se rendre à Buenos Aires (même s’il peut commencer à faire très chaud). En ce qui concerne les contacts, pour vous répondre, il faudrait connaitre un plus précisément vos attentes. N’hésitez pas à m’écrire à jerome@argentinamo.com