Travailler en Argentine sans visa en 2025

En théorie, comme je l’ai expliqué en répondant à la question « faut-il un visa pour aller en Argentine ? », travailler en Argentine sans visa est impossible.

En pratique, la situation est bien différente. Travailler sans visa est possible, temporairement, en tant que touriste, dans 2 situations précises. Cela donne l’occasion de découvrir le pays en percevant quelques revenus et sans avoir à effectuer des formalités administratives parfois complexes et souvent coûteuses.

Ayant personnellement expérimenté ces 2 situations, je suis bien placé pour vous en parler en détail.

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⏳ Temps de lecture 16 minutes

Pas le temps de tout lire ? Voici les infos à retenir :

  • Près de 50 % de la population active en Argentine exerce un emploi informel. Une fois entré en Argentine, en tant que touriste, il est possible de trouver un travail non déclaré. Je peux en attester, car j’ai occupé un poste rémunéré dans une auberge de jeunesse pendant quelques mois avant le Covid-19.
  • Si vous êtes nomade digital, vous pouvez travailler en Argentine, le temps d’un séjour avec le statut de touriste, sans avoir à solliciter un visa. Il vous suffira d’une prise électrique, d’un accès à internet et d’un espace de travail. Là aussi je peux en attester, car, pendant une partie de l’année, je réalise mes missions de correction et de transcription en Argentine, avec pour seul visa mon passeport français.

Besoin d’explications complémentaires ? Voici ce que propose cet article :

En préambule : ceci n’est pas une apologie du travail au noir ; c’est un constat fondé sur le principe de réalité

Selon l’Organisation internationale du travail, tout travail rémunéré qui n’est pas déclaré, régulé ou protégé par le cadre légal est un travail informel.

Politiquement, je suis favorable au travail déclaré, formel, pour une raison très simple et que toute personne qui vit grâce aux revenus tirés de son travail (et non du travail des autres) peut comprendre aisément :

Les travailleurs légaux (en blanco, comme on dit en Argentine) ont, en principe, bien plus de garanties (contrats de travail, prestations sociales, protection sociale, représentants dans les instances, etc.) que les travailleurs illégaux.

Ces garanties sont prévues par des contrats de travail écrits qui doivent être conformes au droit du travail. Dans tout État de droit – et l’Argentine ne fait pas exception -, il existe un droit du travail.

À partir du moment où vous travaillez pour un employeur sur la base d’un engagement non écrit, ces garanties ne s’appliquent pas. L’engagement peut être rompu du jour au lendemain ou ne pas être respecté. Et il n’existe aucun recours contre cela, tant pour le salarié que pour l’employeur.

Ainsi, si vous en avez la possibilité, il est toujours préférable, où que l’on soit, de travailler dans le cadre d’un contrat en bonne et due forme.

Cependant, la réalité incontestable de l’Argentine est qu’on peut y travailler sans visa, après y être entré en tant que touriste, muni d’un simple passeport.

On peut, pas au sens où on en a le droit.

On peut, au sens où cela existe. Au sens où cela se constate tous les jours.

Dans le monde réel, sauf à fuir le principe de réalité, ce qui importe ce n’est pas ce qui est supposé être, mais ce qui est.

Soyons très clair : je ne vous y encourage pas à travailler en Argentine sans visa. Je ne vous en dissuade pas non plus. Je ne suis personne pour vous dire ce que vous avez à faire ou à ne pas faire.

La seule chose que je dis, sur la base de mon vécu, c’est qu’il est possible de tenter l’expérience.

D’une part, cela n’est pas dangereux. Contrairement à la France, la vie politique argentine n’est pas focalisée sur le clivage « national / étranger » (même si les tentatives du président actuel de mettre ce clivage à l’ordre du jour pourraient finir par produire des effets). Dès lors, un étranger qui travaille sans être déclaré, c’est commun. Cela fait partie du paysage. Cela ne suscite pas d’indignations délirantes. Cela ne se traduit pas par des reconduites à la frontière manu militari et des OQTF abracadabrantesques.

D’autre part, cela peut être judicieux dans plusieurs cas (liste non exhaustive) :

  • Vous appréciez le pays, vous voulez le connaitre davantage et y passer plusieurs mois pour vous en faire une idée plus précise. Vu qu’on ne vit pas d’amour et d’eau fraiche, il faut des revenus. Sauf si vous vous sentez une âme de Thénardier, exercer un travail honnête est bien entendu le moyen le plus évident d’obtenir des revenus.
  • Vous êtes conscient de l’instabilité économique (voire politique) de l’Argentine et souhaitez être libre de quitter rapidement le pays si jamais la situation devait évoluer dans un sens qui vous déplaît.
  • Vous ne roulez pas sur l’or et voulez éviter de dépenser des sommes conséquentes pour obtenir un visa donnant l’autorisation de travailler légalement en Argentine. Vous n’avez pas de scrupules à avoir : les revenus tirés de votre travail seront dépensés en Argentine, le temps de votre séjour là-bas, et vous contribuerez donc à la vie collective par vos achats et par le paiement de l’IVA (autrement dit, de la TVA).
  • Vous êtes dans une situation (ce qui est mon cas) où vous partagez votre vie entre 2 pays. Ces situations d’entre-deux, par définition transitoires, sont peu propices à l’obtention d’une résidence temporaire et encore moins d’une résidence permanente.

Ce préambule ayant été fait, venons-en aux 2 situations précises évoquées en introduction.

Travailler sans visa dans le secteur informel

Ici, je n’évoquerai pas les volontariats, de type woofing, qui existent en Argentine, comme ailleurs. Outre le célèbre réseau WWOOF, des plateformes comme Wordpackers ou Workaway mettent en relation des voyageurs avec des hôtes un peu partout dans le monde.

En général, ces volontariats se traduisent par une forme de travail illégal (ou de travail bénévole, si l’on veut employer un oxymore). Mais, les volontariats ne génèrent pas de revenus. Les volontaires sont rétribués par des avantages en nature tels que le gite et/ou le couvert.

Or, comme on dit, tout travail mérite salaire. Donc, dans les lignes qui suivent, je concentrerai mon propos sur le travail sans visa donnant lieu à la perception de revenus salariaux.

Pour comprendre cela, il faut commencer par expliquer l’importance du secteur informel en Argentine. Cette importance fait qu’il est (relativement) aisé d’y trouver un travail en tant que touriste.

En Argentine, près de 50 % de l’emploi est informel

Avant toute chose, il faut comprendre que le travail dit « illégal », que j’appellerai « informel » par la suite, a une importance considérable en Argentine.

Cette réalité est parfaitement documentée par la presse et par les institutions.

Pour s’en convaincre, il suffit de consulter le dernier rapport sur le marché du travail en Argentine (situation au 4e trimestre 2024) publié par l’INDEC (l’équivalent de l’INSEE).

situation du marché du travail en Argentine au 4ème trimestre 2024 selon l'INDEC
Document consultable en allant sur : Mercado de trabajo | Ver Informe

Selon ce rapport, 13,4 millions de personnes font partie de la population active occupée en Argentine.

Sur ces 13,4 millions, 9,8 millions (73,1 %) sont des salariés (asalariados) et 3,6 millions (26,9 %) sont des non-salariés.

Parmi les salariés, 3,6 millions (36,7 % des 9,8 millions) ne sont pas déclarés (sin descuento jubilatorio).

Parmi les non-salariés, 3,11 millions (86,5 % des 3,6 millions) sont des cuentapropistas, autrement dit des personnes déclarant travailler à leur propre compte. Or, même si cette étude peut être contestée, Jorge Paz, chercheur du CONICET (le CNRS argentin), a calculé que 92,5 % des cuentapropistas sont des travailleurs informels. Cela signifierait que 2,87 millions (92,5 % des 3,11 millions) sont des travailleurs informels.

Au final, en ajoutant les salariés informels (3,6 millions) et les non-salariés informels (2,87 millions), on peut affirmer que 6,47 millions d’actifs occupés en Argentine sont des travailleurs informels.

Ces 6,47 millions de personnes représentent 48,28 % de la population active en Argentine.

À titre de comparaison, il est généralement estimé qu’en France le travail non déclaré concerne 5 % de la population de 18 ans et plus. Même si ce chiffre est certainement sous-estimé (notamment, en raison des risques encourus par les « clandestins »), la situation en Argentine n’a donc rien à voir avec ce à quoi on est habitué en France.

4 secteurs où l’emploi informel est majoritaire en Argentine

Au-delà de la figure du travailleur de rue – les vendeurs à la sauvette et les cartoneros étant les plus visibles en Argentine –, le travail informel en Argentine présente de très nombreux visages.

Sur 16 secteurs analysés par l’INDEC, le travail non déclaré est majoritaire dans 4 secteurs :

  • L’agriculture (64,12 % d’informalité)
  • Le BTP (55,1 % d’informalité)
  • L’hôtellerie et la restauration (50,89 % d’informalité)
  • Les services sociaux et de santé, une catégorie très large dans laquelle figurent, notamment, les services à la personne et les emplois à domicile (50 % d’informalité).

La présence du BTP et de l’hôtellerie-restauration ne vous surprendra pas, car, en France, ces 2 secteurs sont ceux où le travail au noir est le plus répandu.

Les 4 secteurs listés ci-dessus ne sont pas non plus caractérisés par de hauts niveaux de revenus (surtout, en cas d’emploi informel). Travailler dans ces domaines ne fera pas de vous un millionnaire. C’est évident. Mais, il n’est jamais inutile de rappeler des évidences.

Travailler dans l’économie informelle : mon exemple dans l’hôtellerie

Fin 2019, j’ai pris la ferme décision de m’installer en Argentine durablement. Mon projet était d’y suivre des études afin d’obtenir un diplôme argentin (de type master) en 1 an à 2 ans. Le visa de résidence temporaire en tant qu’étudiant me permettrait de chercher un travail formel. Puis, l’obtention du diplôme renforcerait mes chances d’obtenir un emploi formel de qualité. Par ailleurs, car il faut toujours un plan B, j’avais un projet d’entrepreneuriat gastronomique.

Le temps que tout cela se mette en place, car la rentrée universitaire en Argentine se déroule en mars, une opportunité s’est présentée.

J’ai appris par le bouche-à-oreille (un moyen d’accès à l’emploi aussi efficace en France qu’en Argentine) que le propriétaire d’une auberge de jeunesse où je posais mes valises depuis des années souhaitait recruter quelqu’un pour exercer le poste de gouvernant.

Vu que le précédent titulaire du poste était un Espagnol, ayant exercé pendant 3 ans tout en conservant son statut de touriste, j’ai présenté ma candidature.

Après un entretien tout aussi informel que le poste, j’ai été recruté et j’ai pris mes fonctions le 2 janvier 2020.

Jérôme Dufaur, fondateur de ArgentinAmo, à la réception de l'auberge de jeunesse en Argentine dont il a été gouvernant, en tant que salarié informel, pendant quelques mois
Entre autres joyeusetés, j’organisais un tirage au sort pour répartir équitablement le travail de nuit

À l’instar des volontaires qui y faisaient étape pour une quinzaine de jours (voire plus si affinités), j’ai bénéficié d’un lit en dortoir en contrepartie de mon travail. Mais, en plus, je percevais un salaire (versé en espèces, de la main à la main) d’un montant équivalent à 50 € par semaine.

Comme je l’ai dit: ce n’est pas avec ça que j’allais devenir millionnaire. Mais, fort heureusement, tel n’a jamais été mon but. Avec ça, à l’époque, je parvenais à joindre les 2 bouts, à condition de ne pas faire de folies.

Inutile ici de revenir en détail sur cette expérience, caractérisée par des hauts et des bas, des rencontres inoubliables (comme celle de Jorge, un muraliste voyageur | voir photo ci-dessous) et son lot d’anecdotes mémorables.

Jérôme Dufaur, fondateur d'ArgentinAmo, et Jorge, artiste muraliste, posant devant une fresque dans une auberge de jeunesse en Argentine.

Elle s’est achevée soudainement lorsque le Covid-19 s’est invité dans tous les dortoirs du monde entier. Les frontières ont été fermées, le confinement a été décrété et l’hôtel a baissé le rideau. Il n’a plus jamais rouvert. RIP.

Mes plans A et plans B sont également tombés à l’eau. Mais je suis encore là pour en parler, en bonne santé, donc inutile de s’en plaindre.

Pour la petite histoire, en tant que travailleur informel, j’ai eu à traiter avec des clients qui l’étaient tout autant. Régulièrement, le soir, un ouvrier du bâtiment venait toquer à la porte. Travailleur journalier, il ne savait vraiment jamais si son salaire du jour serait suffisant pour se payer un lit. Parfois, je lui ai fait quelques ristournes pour qu’il n’ait pas à chercher davantage un endroit où prendre une douche, puis se reposer quelques heures. Mais, chut, ne le dites pas au patron (je ne suis pas sûr qu’il y a prescriptions).

Un de mes collègues, exerçant en tant que volontaire, était un artisan très doué, vendant ses créations dans les rues et marchés alentour. De manière totalement informelle, lui aussi.

Bref, cette expérience en tant que gouvernant d’hôtel, non déclaré, n’avait absolument rien d’extraordinaire dans un pays comme l’Argentine. Mon prédécesseur était Espagnol et un autre candidat était Colombien. Des personnes effectuant le même travail dans un autre établissement étaient Brésiliennes. Et, bien entendu, la plupart de ceux qui occupent ce type de poste sont Argentins.

Travailler en Argentine sans visa en tant que nomade digital

Il existe une autre façon de travailler sans visa en Argentine, encore plus simple que la précédente.

Si vous pouvez emporter votre outil de travail dans vos bagages, vous n’aurez même pas besoin de chercher ou trouver un travail sur place afin de percevoir des revenus lors de votre séjour en Argentine.

Telle est la situation des nomades digitaux. J’ai pu expérimenter cette possibilité de mars 2020 à nos jours.

Travailler avec un ordinateur, une prise électrique et un accès internet

Certes, la législation argentine prévoit désormais un visa de nomade digital d’une durée de 180 jours renouvelable 1 fois pour la même durée

En l’état actuel des choses, je m’interroge sur l’opportunité de solliciter ce visa dont le coût n’est pas négligeable.

En effet, aucune autorisation administrative n’est requise pour entrer en Argentine avec un ordinateur dans vos bagages.

Si votre ordinateur est votre outil de travail, l’accès à l’électricité et une connexion internet seront les seules conditions requises pour travailler. Et éventuellement un adaptateur universel de voyage dans le cas où votre espace de travail ne serait pas doté de prises de type C.

Il s’agit de conditions matérielles et non de conditions administratives.

Malgré l’existence de coupures de courant – surtout pendant l’été – y compris dans certains quartiers de Buenos Aires, ces conditions sont largement réunies en Argentine.

Outre les aéroports, les bars et les hôtels mettent largement à disposition des prises électriques pour que les voyageurs (nomades digitaux ou autres) puissent brancher leurs appareils. Certains jours, le hall de Milhouse Hostel Avenue, une auberge de jeunesse de l’Avenida de Mayo à Buenos Aires, où j’ai séjourné à plusieurs reprises, ressemble à un espace de coworking.

Jérôme Dufaur, fondateur de ArgentinAmo, travaillant sur son ordinateur, en Argentine, en tant que nomade digital.

Donc vous pouvez partir en tant que touriste, votre ordinateur dans vos bagages, et vous pourrez travailler le temps de votre séjour.

Travailler et voyager, sans visa, pendant 90 jours ou plus

Rappelons que l’autorisation de séjour en tant que touriste est de 90 jours.

Une fois en Argentine, cette durée peut être prolongée pour une durée équivalente (90 jours supplémentaires) en effectuant des formalités auprès de Migraciones.

À l’heure où sont écrites ces lignes, le coût de la prolongation de la résidence transitoire en tant que touriste, pour un étranger (hors Mercosur), est de 20 000 UMSM (soit 20 000 pesos argentins, puisque 1 Unidad de Medida de Servicios Migratorios = 1 000 pesos argentins).

Un autre moyen populaire de prolonger cette durée est de sortir du territoire argentin avant l’expiration des 90 jours, puis d’y revenir, ce qui réinitialise la période de 90 jours. Certains usent (au risque d’abuser) de cette possibilité pour séjourner plusieurs années en Argentine en tant que touristes et donc en situation légale.

Cette astuce est un excellent prétexte pour découvrir les pays limitrophes. Les possibilités sont nombreuses :

  • sud du Brésil (à combiner avec la visite des chutes d’Iguazu des 2 côtés de la frontière)
  • nord-est chilien (notamment, en direction de San Pedro de Atacama via le Paso de Jama)
  • sud-ouest bolivien (dont le salar de Uyuni)

Le seul inconvénient – surtout, si votre budget est limité – est que le prix du voyage (où que vous alliez) excèdera largement le coût de la formalité auprès de Migraciones pour bénéficier de 90 jours supplémentaires

Travailler en tant que nomade digital : mon exemple en tant que correcteur et transcripteur

En mars 2020, alors que le Covid-19 sévissait sur toute la planète, j’ai débuté une activité professionnelle aucunement affectée par les mesures de confinement : correcteur freelance.

Globalement, mon travail consistait (et consiste, puisque je l’exerce toujours) à relire des textes en français et à corriger la langue (orthographe, grammaire, syntaxe, ponctuation, typographie, etc.).

Je reçois les textes par internet et je dispose d’un certain laps de temps pour les corriger avant de les renvoyer à l’expéditeur par internet.

Parallèlement, à partir de mars 2022, j’ai commencé à travailler en tant que transcripteur. Des enregistrements audio ou vidéo me sont envoyés par internet. Je suis chargé d’écouter et de rédiger des comptes rendus. Puis, je renvoie mon travail à l’expéditeur.

Micro-entrepreneur, je paie mes impôts et cotisations sociales en France. Mais je peux travailler depuis n’importe où. Toujours en compagnie de mon maté (en veillant à ne pas le renverser sur le clavier) :

maté et ordinateur portable, cadre de travail de Jérôme Dufaur, fondateur d'ArgentinAmo, en tant que nomade digital

Depuis la réouverture des frontières argentines (novembre 2021), j’ai partagé ma vie entre la France et l’Argentine en tirant mes revenus de cette activité de freelance. Et, si l’on excepte mon semestre d’études en 2001, j’ai toujours séjourné en Argentine en tant que touriste.

Cette possibilité existe. J’en suis la preuve, parmi bien d’autres.

La principale difficulté sera de trouver une activité rémunératrice. Les métiers des nomades digitaux font partie de ceux qui sont les plus secoués par l’essor de l’intelligence artificielle générative. J’ai pu le constater avec la diminution considérable du nombre de corrections à effectuer ces derniers mois.

En conclusion

Cet article n’avait pas pour but d’ouvrir un grand débat international où se mêleraient des considérations morales, philosophiques ou politiques.

Quoi que vous pensiez du travail non déclaré ou de la condition de nomade digital, l’objectif était de montrer qu’il est tout à fait possible de travailler en Argentine sans visa. Un constat factuel, exemples à l’appui. Ni plus, ni moins.

Un mot sur l’auteur

Présentation de Jérôme Dufaur, créateur de argentinamo.com et auteur des articles: "Tombé amoureux de l’Argentine lors d’un semestre d’études en 2001, Jérôme Dufaur y passe entre 3 et 6 mois par an. Conscient du besoin de disposer d’informations de qualité sur ce magnifique pays, il a créé ArgentinAmo pour partager des conseils de voyage et transmettre sa passion."

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